Verdaches

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Verdaches
Verdaches
Entrée du village de Verdaches.
Blason de Verdaches
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Guy Auzet
2020-2026
Code postal 04140
Code commune 04235
Démographie
Gentilé Verdachois
Population
municipale
61 hab. (2021 en diminution de 3,17 % par rapport à 2015)
Densité 2,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 51″ nord, 6° 20′ 35″ est
Altitude Min. 1 078 m
Max. 2 186 m
Superficie 22,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Seyne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Verdaches
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Verdaches
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Verdaches
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Verdaches
Liens
Site web http://www.verdaches.com/

Verdaches est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Verdachois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Verdaches et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé sur le Bès, à 1 127 m d’altitude[2].

Points remarquables :

  • la clue de Verdaches, située à l'aval du village, mais hors de la commune ;
  • le sommet du Blayeul (2 202 m) ou Quatre Termes : les limites de quatre communes s’y rejoignent, sans constituer un quadripoint.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Seyne auquel appartient Verdaches est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Verdaches est également exposée à quatre autres risques naturels[4] :

  • avalanche (danger non recensé par le dossier des risques majeurs[5]) ;
  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain.

La commune de Verdaches est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui du transport de matières dangereuses par route[5]. La départementale RD 900a (ancienne route nationale 100a) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[6].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] et le Dicrim n’existe pas non plus[7].

Géologie[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Chute du Bès à Verdaches

La commune est traversée par le Bès[8].

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 1 399 ha de bois et forêts, soit plus de la moitié de sa superficie[1].

Transports[modifier | modifier le code]

Le village est desservi par la départementale RD 900A, ancienne route nationale 100A qui rejoint la RD 900 (ancienne route nationale 100) à l’écart du village. La RD 507 part du village et dessert le vallon du Mardaric et le hameau de la Route[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 947 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar à 15 km à vol d'oiseau[11], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,2 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Verdaches est une commune rurale[Note 2],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %), prairies (2,8 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1055 (de Verdachis), est le pluriel de l’occitan bardesco, ou verdesco, désignant une forteresse en bois, qui a donné en nord-occitan verdescho[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Son territoire est déjà fréquenté à la protohistoire[2]. Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici), peuple celto-ligure, occupaient la vallée de la Bléone, et vivaient sur l’actuelle commune de Verdaches. Vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), les Bodiontiques sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[23].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1055[24]. Elle est dotée d’un consulat en 1237[24]. La communauté relevait du bailli de Seyne et le comte de Provence Raymond Bérenger IV lui accorde de se gouverner elle-même par consulat en 1237[25].

Les fouilles du cimetière de l’église Saint-Domnin, utilisée aux XIIe – XIIIe siècles, ont montré que les tombes étaient, à l’époque, orientées indifféremment Nord-Sud (avec la tête au Nord ou au Sud) ou Est-Ouest (avec la tête à l’ouest). Les squelettes témoignent des pathologies fréquentes à cette époque : arthroses, fractures, carences alimentaires[26]. Quelques pégaus intacts y ont été retrouvés[25]. L’altitude rendait la vie difficile : le terroir servait surtout à faire paître des troupeaux, les habitants étant nombreux à travailler en Basse-Provence l’hiver[25].

Avec la fin des guerres de religion, les activités productives reprennent : on essaie en 1602 d’exploiter un gisement de plomb à Verdaches, sans que la rentabilité soit au rendez-vous ; dès 1604, une deuxième tentative a lieu, sans plus de succès[27].

Au XVIIe siècle, le village, jusque-là installé sur la colline Saint-Domnin, descend dans le vallon, 70 m plus bas, au hameau des Jauberts. Ce hameau a depuis pris le nom du village[25].

Comme de nombreuses communes du département, Verdaches se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[28]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[29], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Verdaches[30]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[31], mais ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Verdaches sont régulièrement scolarisées.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Verdaches Blason
D'argent à trois arbres de sinople rangés en fasce sur une terrasse du même[32].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Économie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Léopold Meillan[33]    
         
mars 2001[34] En cours
(au 21 octobre 2014)
Guy Auzet[35],[34],[36] DVG Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Verdaches fait partie :

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 61 habitants[Note 4], en diminution de 3,17 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
263272163264214261281274290
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
270264256245219200218241209
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
213188176182154143113113101
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006
1089095727261486063
2010 2015 2020 2021 - - - - -
57636261-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
70 feux15 feux

L’histoire démographique de Verdaches, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période est longue à Verdaches, et dure de la fin du XVIIIe siècle aux années 1860. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. Le recul démographique franchit un seuil dramatique en 1926 : à cette date, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[41]. Le mouvement de baisse se prolonge jusqu’aux années 1990. Depuis une dizaine d'années, une petite progression a remplacé la baisse.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cascade du Saut de la Pie avec, au premier plan, sur une pierre, 0m oeuvre de Paul-Armand Gette

L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste date de la fin du XVIIIe siècle[2], époque où elle est construite pour éviter aux habitants installés dans la vallée de remonter au vieux village[25]. Elle possède un ciboire, classé monument historique au titre objet[42].

La chapelle Saint-Domnin, ancienne église paroissiale, a pour titulaire Notre-Dame de la Fraisse, saint Domnin de Digne étant patron. Autrefois orientée au sud-ouest, la restauration du XIXe siècle la reconstruit selon un axe nord-sud[25]. Entourée du cimetière, elle possède trois têtes de loup, sculptées dans la façade occidentale, et symbolisant les trois péchés mortels. La voûte est une fausse voûte en plâtre[43]. Le portail en plein cintre est l’ancienne porte sud de l’église d’avant la restauration[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

En 2012, Paul-Armand Gette, a réalisé dans les Alpes-de-Haute-Provence, une œuvre intitulée Des cheveux de Vénus aux splendeurs de la nuit qui s'inscrit dans le cadre du VIAPAC, où se mêlent poétique, botanique, géologie et mythologie. L’artiste a placé neuf repères 0m.[44], au moyen de plaques émaillées ou de verre gravé, le long de la D900. Ils forment une ligne appelée « transect »[45] entre Digne-les-Bains et Auzet.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Seyne », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  2. a b et c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  4. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 5 septembre 2012
  5. a b et c Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
  6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
  7. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 5 septembre 2012
  8. a et b « IGN, Carte topographique de Verdaches » sur Géoportail (consulté le 11 janvier 2014)..
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Verdaches et Montclar », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 26 499, p. 1455
  23. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
  24. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 206
  25. a b c d e f et g Daniel Thiery, « Venterol », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 29 janvier 2012, consulté le 5 septembre 2012
  26. Vanina Susini, Daphné Deverly, « Verdaches », Archéologie médiévale, Éditions du CNRS, no 37, 2007, p. 290-291.
  27. Joseph Billioud, « Les mines de plomb des Basses-Alpes du XVIe au XIXe siècle », Provence historique, tome 8, no 31, 1958, p. 44-45.
  28. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  29. Labadie, op. cit., p. 16.
  30. Labadie, op. cit., p. 18.
  31. Labadie, op. cit., p. 11.
  32. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
  33. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  34. a et b G. M., « Un troisième mandat de maire pour Guy Auzet », La Provence, 12 avril 2014, p. 10.
  35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013
  36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  42. Arrêté du 30 janvier 1995, « ciboire », notice no PM04000757, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 24 novembre 2010
  43. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 233
  44. En phytosociologie, le « 0m. » est utilisé pour marquer le point de départ de « quelque chose », indiquer un changement.
  45. Le transect est une ligne que l’on trace virtuellement ou physiquement pour étudier un phénomène et en compter les occurrences.